UMP/Guadeloupe : une politique inéquitable, communiste, et ethno-masochiste

Publié le par L. Vittoz

Alors que les négociations continuent, l'Etat français s'apprête à céder au chantage de revendications portées par le LKP, mouvement qui a démontré ses tendances afro-ethnicistes et anti-blancs, en augmentant les bas salaires de 200 euros. La vie y est chère, soit ! Fort bien.

On ne s'est en revanche pas demandé ce qui la rendait si chère sinon un tourisme qui profite économiquement à l'île, et qui rapporte plus qu'il ne coûte lorsque 30 à 50 % de guadeloupéens vivent sous perfusion des aides d'un Etat français, qui pauvre d'eux, demeure dirigé par les "sales békés blancs".

Une politique inéquitable et une économie bolchevisante

Nous conseillons donc aux niçois, aux varois et aux hauts-savoyards (où la vie y est encore plus chère), de se révolter, détruire le bien d'autrui avec des barres de fer, tirer au fusil sur les forces de l'ordre et "tabasser du blanc" dès que possible : la preuve, ça marche !
Au nom de quel droit à l'inéquité entre citoyens de cette République indivisible, les métropolitains de ces lieux devraient-ils être seuls à subir le coût d'une vie chère ?


D'ailleurs qu'est ce qu'un "bas salaire" ? Quel en est le montant ? Que fera-t-on des 88% de salariés ne percevant pas le SMIC ? ... On ne sait pas ! Que dira-t-on à tous ceux dont la rémunération valant plus que celle d'un autre, sera fixée à égale hauteur avec une personne dont le travail vaut un salaire moindre ?


Décidément, la veste reversible est de circonstance chez Sarkozy et ses amis, qui après être passés des propositions de campagne libérales à l'assistanat socialisant de ces derniers temps, est désormais en train de virer au communisme ringard où l'égalité des salaires consistait à ce que tous les hommes soient aussi pauvres que leurs semblables, sans aucune hiérarchie sociale pourtant naturelle.

A quand le délire plannificateur et les sovkhozes ?

Un ethno-masochisme sidérant

Derrière ce scénacle se dissimule surtout un racisme anti-blancs manifeste. Incapables de s'élever collectivement au-delà d'une situation estimé injuste et d'en tirer leur part de responsabilité (qui est immense soit dit en passant), le "béké" (le blanc) est pointé de l'index par les émeutiers comme le grand bouc émissaire expliquant tous les maux du monde. On nous ressert au dessert le petit couplet sur l'économie des plantations pour tenter de donner un minimum de force à une argumentation haineuse et en aucun cas convaincante.


Le délire racial des supporters du LKP consiste à considérer que derrière chaque blanc se dissimulerait donc un individu perfide tentant de nuire gravement au bon équilibre des guadeloupéens de couleur, une perfidie qui serait bien sûr motivée par le racisme inné du "zoreille". (Bien sûr, les explications sur la génétique et le caractère inné de certaines caractéristiques propres à des populations ne valent que pour montrer à quel point l'homme blanc est très méchant et qu'il faille s'en préserver. En sens inverse, c'est un parjure, une hérésie au politiquement correct qui vaut le bûcher et les éclairs)


Dans une bouffée paroxystique de délire, c'est ainsi que nombre de blancs sont roués de coups au quotidien au motif de leur couleur de peau. Le Figaro par exemple dans son tirage d'aujourd'hui, en recense un petit échantillon :


- " (Une) restauratrice de Pointe-à-Pitre, installée en Guadeloupe depuis une quinzaine d'années, s'est, quant à elle, fait traiter de «sale putain de blanche» pour avoir tenté d'ouvrir (son magasin) "


- " La crainte des représailles est toujours vivace. Les témoignages de pressions exercées par les gros bras du LKP sont nombreux. Les menaces graduées. Du simple avertissement aux menaces physiques. Quand ce ne sont pas des insultes racistes lorsque le commerçant n'est pas «pays» "


- " Comme souvent aux Antilles, confie un béké, «on lâche de temps en temps les chiens» en période de crise. On se cherche des boucs émissaires : «Selon la saison, le coupable, c'est le béké ou le Chinois. Parfois, c'est l'État. D'autres fois encore, ce sont les métropolitains.» "


- " Certains porte-parole du LKP ont parfois dépassé la ligne jaune en stigmatisant certaines catégories de la population. Un dirigeant du LKP a ainsi dénoncé une nouvelle fois, lundi soir, «la politique raciale et de caste des békés». Le parallèle avec les métropolitains n'est pas loin à faire. Comme pour cette jeune femme qui s'est fait traiter de «sale blanche» il y a quelques jours, en bas de chez elle. «Ce qui me fait le plus mal, c'est que je vis ici depuis des années. Je vis avec les locaux, ce sont mes amis. Mais l'autre jour, dans la rue, personne ne m'a défendue alors que tout le monde me connaît», témoigne-t-elle, en refrénant un sanglot dans la voix. Une autre femme se demande si elle ne va pas tout simplement rentrer définitivement en métropole. La violence gratuite, même si elle n'est que verbale, est insupportable. "

La sympathie générale de la métropole vis-à-vis de ce mouvement, après avoir gobé les inepties servies par les médias, démontre l'état d'abrutissement avancé de notre civilisation.
Comment concevoir qu'une tripotée de voyous postillonnent sur ceux qui font vivre l'économie de leur territoire, avec l'assentiment général d'une population lobotomisée devant son petit écran ?


Que tous ceux qui croient à l'indépendance de la Guadeloupe regardent ce qu'il est advenu des Comores qui en 1975 prenaient leur autonomie, mais dont la population tente 30 ans après de fuir sa nouvelle misère en migrant clandestinement sur l'île voisine de Mayotte restée aux mains des "colons" français !
 

Qui peut croire un instant qu'une économie agricole basée sur l'exportation de bananes, de noix de coco apporterait bonheur et prospérité à nos compatriotes de Guadeloupe et d'ailleurs ?

L. Vittoz

Publié dans Gouvernement UMP

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