1400 immigrés "bénis" par l'UMP
Un an après la grève des sans-papiers des restaurants parisiens embauchés clandestinement par leurs patrons-voyous feignant l'ignorance, on apprend qu'entre 1400 et 1700 immigrés clandestins ont été régularisés en quelques mois seulement (source gouvernementale : 1400), auxquels s'ajoutent des "centaines de dossiers, car des patrons font chaque jour régulariser des travailleurs sans qu'on le sache" selon les lobbies gaucho-immigrationnistes.
Le "Sinistre" de l'Immigration et de l'Identité Nationale de l'époque, Brice Hortefeux, s'était pourtant "interdit" une "régularisation massive" au profit d'un "cas par cas" demeuré volontairement flou au terme de ses propos. La gêne du moment trahissait l'ampleur de son mensonge.
Chaque français pris à témoin peut désormais constater l'ampleur de la supercherie, d'un caractère tout aussi odieux que les balbutiements sur les chiffres 2008 relatifs aux reconduites aux frontières, qui relèvent là aussi d'une manipulation savemment orchestrée par une propagande étatique et la complicté des médias à la botte.
Un gouvernement UMP et des gauchistes génocidaires
Hortefeux a donc fait jurisprudence, ouvert une brèche incolmatable dans laquelle vont venir s'engouffrer des millions de crève-la-faim mis en appétance par un Occident qu'ils croient à tort regorger de richesses intarissables, où les billets pousseraient sur les chênes, et les pièces en tomberaient au sol tels des glands.
Ils seront des millions de malheureux du Sahel, de la savane et de la brousse à venir confier leurs dernières économies à des traficants d'hommes, des négriers des temps modernes, prospérant en les faisant traverser le Gibraltar à fond de cale sur un bateau de fortune, quitte à les jeter par dessus bord à l'approche d'une vedette suspectée douanière.
Ils seront donc des millions à périr noyés ou de faim, à être passés à tabac par ses réseaux maffieux.
Cette culpabilité génocidaire va se renforcer de "la collaboration" de gauchistes abrutis au marteau, à la faucille et au droit-de-l'hommisme façon mai 68, incapables de raisonner et de tirer les conséquences de leurs actes, ivrognes pour les plus marginaux d'entre eux, l'haleine empestant le chanvre pour tant d'autres.
La gauche et l'extrême-gauchisme clientélistes et ses réseaux "sans-frontières" ou syndicalisés dont on ne citera pas les noms participent activement à cet assassinat collectif, coresponsable du charnier.
Ils en jubilent qui plus est, ces cuistres, puisqu'ils précisent déjà qu'une "centaine d'autres dossiers" sont sur la table et que "chaque jour des patrons (voyous) font régulariser des travailleurs (clandestins) sans qu'ils le sachent"
On attend plus que les gros titres des unes africaines demain matin, et l'écho qu'elles auront.
En espérant que tant de malheureux, parés de leur baluchon pour la circonstance, ne viennent se lancer dans une aventure migratoire qui ne pourra qu'être funeste.
Ce qu'Hortefeux, l'UMP, la gauche et l'extrême-gauche ont commis est tout bonnement inhumain ! C'est impensable !
Ce qu'ils ont fait au pays, aux français et aux générations futures est une abomination.
Comment expliquerons-nous à ces générations futures que nous avons donné carte blanche à ces bourreaux malgré eux, croyant par leur sordide action, triompher d'un fascisme inexistant ?
Comment pourrons-nous justifier cet atroce crime contre l'humanité qu'est le fait de créer des appels d'air migratoires, quand tant d'hommes ont déjà péri dans leur tentative de migrer, et que tant de nations ont été appauvries par une immigration non contrôlée ?
Il y a de quoi avoir le sang glacé d'effroi devant autant de monstruosité de leur part.
Peu de bons chrétiens pourraient trouver en eux la force nécessaire pour les pardonner de leur folie.
Seuls des êtres dénués de toute raison pourraient leur donner l'absolution.
Des négriers en embuscade
Tapis dans l'ombre et guettant la moindre opportunité, les patrons-voyous n'ont plus qu'à attendre d'être sollicités par les rares survivants de l'immigration clandestine.
Sous couvert de souplesse procéduriaire, ils vont contrevenir gravement à la Loi du pays qui est censé représenter chaque citoyen en ne demandant pas aux clandestins les documents nécessaires pour pouvoir travailler.
Ils le font au détriment de la population française et non sais raisons.
Les occidentaux ont acquis au cours de leur vie une expérience, des diplômes, des théories, des techniques et un savoir inégalable. En conséquence de laquelle, leur travail a une valeur supérieure à trois francs six sous et qui est la juste rétribution de tout leurs efforts, de ce qu'ils ont acquis et sacrifié.
En embauchant sciemment des clandestins, les patrons-voyous ont ainsi l'opportunité mesquine de rémunérer à moindre coût une main d'oeuvre corvéable à souhait, puisque sa position ne lui permettra pas de se plaindre de ses conditions de travail, d'exiger autre chose que le salaire minimum ou une augmentation de rémunération, même si celle-ci est amplement méritée.
En plus de contrevenir gravement à la morale et à l'esprit de la loi républicaine, les patrons-voyous commettent un acte irréparable et qui sera dramatique pour la main d'oeuvre française et pour les qualifications, en dévaluant gravement la valeur du travail par une concurrence déloyale avec la main d'oeuvre étrangère.
Ils pourront ainsi exercer un ignominieux chantage au détriment du français instruit, qualifié et jouissant de conditions de travail prévues par la Loi, en lui faisant remarquer qu'il est trop cher et qu'il se plaint trop. C'est d'ailleurs pour cela que plus nombreux et miséreux seront les immigrés clandestins, plus satisfaits ils seront.
C'est ce qui s'appelle une attitude négrière.
Brice est un récidiviste
Hortefeux est donc coutumier de la haute trahison et du mensonge éhonté. On devrait en faire une discipline olympique, que nous puissions ramener une médaille au Tricolore.
Il en est même un spécialiste de haute volée si l'on juge le bilan qu'il a dressé de son action au ministère de l'Immigration et de l'Identité Nationale avant de s'en retirer. Ce n'est pas en bon capitaine restant à la barre du navire qu'il s'est comporté, mais comme le dernier des margoulins, tel un mutin qui l'aurait sabordé avant de s'emparer du seul canot de sauvetage, de prendre la fuite, puis une fois au loin de faire un bras d'honneur à la foule désespérée s'apprêtant à boire la tasse.
Ce n'est pas l'Histoire qui devrait donc le juger mais un cour martiale et un tribunal international, et de manière sommaire si posssible, avec un jugement sans ambages.
Certains, en d'autres temps, et pour moins que cela sont passés à l'échaffaud, ont été molestés, pendus haut et court, vilipendés comme des chiens bavant de rage, passés aux oripeaux de la Question. Il y a en a qu'on rossait, jadis, en place publique pour laver l'honneur du pays trahi et pour donner l'exemple. D'autres que l'on écartelait et dont on dispersait les membres aux quatre vents. Ce ne sont pas des louanges médiatiques déguisées qui devraient l'attendre, mais des plumes et du goudron et une centaine de bras bénévoles pour le bouter manu militari hors du pays.
Brice Hortefeux porte désormais sur son nom, en association avec Nicolas Sarkozy, la responsabilité d'une des plus grandes fellonies que l'histoire contemporaine ait connu, celle d'un crime absolument inconcevable.
L. Vittoz